J'admets avoir quelques années de retard concernant la lecture des livres de Maxime Chattam, auteur auquel je voue un véritable culte depuis début 2005, mais les raisons seraient trop longues et ennuyantes à expliquer.
Je vais donc entrer dans le vif du sujet : après avoir terminé la trilogie du Cercle de la Vérité, je me suis procurée le thriller suivant : La promesse des ténèbres. Je tenais, comme beaucoup de gens, surtout à savoir ce qu'était devenu le mari d'Annabel O'Donnel, agent déctive aux côtés de Joshua Brolin dans deux tomes de la Trilogie du Mal. Et...

Brady O'Donnel, journaliste, se voit proposer un sujet de reportage par son meilleur ami : la pornographie. Ce dernier lui laisse la photo d'une jeune fille, Rubis, au dos de laquelle figure son numéro et l'adresse de son site internet. Brady visite le site de Rubis et assiste à un viol enregistré qui va l'amener à contacter cette actrice pour en savoir plus. Mais au moment de la rencontre, Rubis met brutalement fin à ses jours sous les yeux du reporter.
Bouleversé, Brady s'enfonce petit à petit dans les ténèbres new-yorkaises afin de découvrir la vérité sur Rubis, mais celle-ci a un prix... .

C'est la première fois que je n'exulte pas après avoir lu un Chattam, bien que l'histoire m'aie bien plus, elle ne m'a pas mise à l'aise, le sujet principal étant le X, j'ai même sauté quelques passages, trop glauques pour moi. On peut facilement deviner, au fil des pages,,se qui risque de se passer pour Brady, là où on s'y attend le moins, c'est le "coup de théâtre Jack Thyer", mais je n'en dirai pas plus pour éviter les spoilers.
En refermant le livre, je me suis juste souvenue de la fin de In Tenebris et j'ai pensé : "La boucle est bouclée".

Un Chattam que je relirai sûrement mais qui parait un peu fade par rapport aux livres précédents.

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Grâce à Dante, un chattamiste fort aimable et fou du grand écran, j'ai eu l'envie de me plonger dans l'univers du cinéma, qui n'a, jusqu'ici, jamais été vraiment ma tasse de thé. Mais la façon dont Dante en parle a éveillé ma curiosité, et j'ai décidé de commencer avec les DVD que possède mon père, cinéphile averti. Comme je suis sourde et qu'il n'y a pas de cinéma diffusant les films en V.O. près de chez moi, je préfère économiser une place inutile pour acheter le DVD plus tard, mais tous ceux de mon père sont déjà à portée de main, alors pourquoi me priver quand c'est gratuit ? ; ).

Hier soir, je cherchais le film Taken, quand j'ai mis la main sur un DVD que mon père possède depuis longtemps mais que je n'avais jamais regardé : La Môme. Le célèbre film relatant la vie d'Edith Piaf, une chanteuse que je n'aime pas beaucoup, mais tout le monde ne cesse de parler de prestation époustoufflante de l'actrice Marion Cotillard dans ce film, je l'ai donc glissé dans mon lecteur à tout hasard...

Avec ce film qui dépasse de loin la simple biographie, Olivier Dahan a choisi de faire un film flamboyant, onirique et bouilonnant. C'est fabuleux voyage à travers la vie d'une femme devenue un mythe... .
Du début à la fin je suis restée rivée sur mon écran. Marion Cotillard joue le rôle d'Edith Piaf à la perfection et a méirté, selon moi, plutôt trois fois qu'une les récompenses qui lui ont été octroyées pour ce film.

La Môme, c'est l'histoire de n'importe qui au début du XXè siècle, mais une histoire qui a pris une tournure totalement innatendue lorsqu'une gosse fait entendre sa voix en chantant la Marseillaise dans la rue pour gagner un peu d'argent. Bien sûr, je ne peux pas me prononcer sur la voix, mais les émotions traversant les évènements quels qu'ils soient touchent nos coeur en plein centre, telles des flèches d'argent.
La toute fin est, à mon sens, le passage le plus émouvant ; la force de cette femme à accepter tout ce qui croule sur ses épaules voûtées et à le chanter haut et fort devant le public d'une salle de concert mythique est tout simplement impossible à décrire.

Bref, un film à voir et à revoir de temps à autre, pour ne jamais oublier que la vie vaut la peine d'être vécue, même quand on pense le contraire.

L'image du film provient du site :Université Angers

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Le copyright, qu'est-ce que c'est ?

Voici un résumé français traduit du fameux article de Brad Templeton (qui est connu pour avoir fondé ClariNet, le premier journal publié sur internet) : "Dix grands mythes sur le copyright" que l'on retrouve sur son site 10 Big Myths about copyright explained.

Toute création (écrit, audio, photo, code source...) a désormais ses droits protégés dès le moment où elle est écrit ou produite. La mention "copyright" n'est donc pas nécessaire - elle peut simplement servir d'avertissement (La forme correcte est "Copyright [date] by [auteur/propriétaire]" mais on peut aussi utiliser le ©).

Le fait qu'une création soit gratuite ne lui ôte pas le copyright pour autant.
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Rien de ce qu'on trouve sur le Web n'appartient au domaine public (à l'inverse d'une idée répandue). Le copyright est destiné à garantir à tout auteur la maîtrise de son oeuvre : utilisation et circulation, retombées financières.
Ce qu'il faut, c'est l'accord de l'auteur : qu'on le sollicite et l'obtienne, ou qu'il soit explicitement sur le document.

Le copyright persiste, même s'il n'est pas défendu, et même si l'oeuvre a déjà été copiée.

Le copyright vise à protéger l'expression d'un auteur, mais pas à bloquer la vôtre. L'exception s'applique donc aux commentaires, parodies ou études diverses sur une oeuvre publiée.
Un internaute poursuivi pour violation de copyright ne sera pas poursuivi en droit pénal. Ce délit relève du droit civil. La sanction financière peut néanmoins être sévère.

La cour suivra la partie la plus convaincante. On ne peut se retrancher derrière des arguments tels que : ça ne fait aucun tort à l'auteur, ou même ça fait de la publicité à son oeuvre. Ce n'est en aucun cas à nous d'en juger, mais à lui seul. Seule chose à faire : lui demander son accord (s'il n'a pas déjà été notifié). Avoir une copie n'est pas avoir des droits sur cette copie.

Ainsi les E-mails : même les messages privés tombent en théorie sous la lois du copyright. Pour les transférer sans violation, il faudrait donc une autorisation. Sinon, on peut toujours les évoquer, révéler leur contenu en s'appuyant sur des extraits. Dans la pratique, l'auteur d'un message ordinaire a peu de raisons de subir un dommage mais... De toute façon, loi à part, le respect du caractère privé d'une correspondance est une "courtoisie à honorer".

"Mais le droit d'auteur à contrôler ce qui est fait de son oeuvre est valide, même en l'abscence de valeurs commerciales.". Ce principe, quant à lui, recueille l'adhésion des gens de loi...

Donc, en résumé :
De nos jours, presque toutes les choses sont protégées par le copyright au moment où elles sont crées et publiées et aucune notification n'est exigée.

Vous venez d'atterrir...

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Mon pseudo est un synonyme anglais du mot "crépuscule", moment particulier que j'attends chaque jour avec impatience, moment à moi, moment d'émotion, moment d'aise, moment de réflexion, rayons de soleils en déclin... .

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